On commence donc par Gax, qui arrive doucement, planante et galactique. Starter et Jeffer montrent très vite l'ambiance de l'album, quelque chose qu'on ne voit pas ailleurs, mais qui n'est pas encore poussé jusqu'au bout... Transmission nous fait lentement redescendre et nous prépare pour aller encore plus loin. La longue montée de Sweet Light nous porte, puis tout part d'un coup, tout le talent de Boys Noize concentré sur LES 2 minutes de Power. La pression se relâche et on est entrainé vers Heart Attack, qui clot le mix et l'album par la même occasion.
J'ai construit le mix dans la lignée de l'album, en essayant au maximum de retranscrire les intensités et les moments plus fragiles. Power, c'est un voyage dans l'espace à la fois doux et violent, en un mot : puissant.
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